Notre-Dame de Paris après la pluie

« La plus forte impression de notre prime jeunesse… fut l’émotion que provoqua, en notre âme d’enfant, la vue d’une cathédrale gothique. Nous en fûmes, sur-le-champ, transporté, extasié, frappé d’admiration, incapable de nous arracher à l’attrait du merveilleux, à la magie du splendide, de l’immense, du vertigineux que dégageait cette œuvre plus divine qu’humaine… En quel langage, par quels moyens pourrions-nous leur exprimer notre admiration … pour tout ce qu’ils nous ont appris à goûter, à reconnaître, à découvrir, même ces chefs-d’œuvre muets, ces maîtres sans paroles et sans voix ? »

Fulcanelli, « Le Mystère des Cathédrales ».